Nuit d'extase au Velvet Paradise

Nuit d'extase au Velvet Paradise
15-12-2025👤 Thepornator 🕒 13 min

La porte en acajou massif du "Velvet Paradise" s’ouvrit dans un soupir feutré, laissant échapper une vague de basses sourdes et de rires étouffés. Le couple franchit le seuil, leurs doigts entrelacés comme pour se rassurer mutuellement. L’air était lourd, chargé d’une odeur enivrante de parfum, de sueur et de sexe. Les lumières tamisées, teintées de rouge et de violet, dessinaient des ombres mouvantes sur les corps entrelacés qui ondulaient au rythme de la musique. Elle, "Léa", portait une robe moulante en soie noire, si ajustée que chaque courbe de son corps – ses hanches généreuses, sa taille fine, ses seins lourds et fermes – était soulignée comme une invitation. Le décolleté plongeant laissait deviner la naissance de ses globes, et à chaque pas, le tissu frôlait ses tétons déjà durcis par l’excitation. Ses talons aiguilles claquaient sur le sol, un son qui se mêlait aux gémissements lointains.

Lui, "Thomas", la dominait d’une tête, ses épaules larges tendant le tissu de sa chemise blanche, ouverte sur un torse musclé. Son pantalon en lin noir ne parvenait pas à cacher l’énorme bosse qui déformait déjà l’étoffe, sa bite de vingt-cinq centimètres, épaisse comme un poignet, pulsant d’impatience. Il sentit le regard des femmes glisser sur lui, certaines léchant leurs lèvres, d’autres échangeant des murmures avec leurs partenaires. Une brune aux yeux verts, assise sur un canapé en velours, ne fit même pas semblant de détourner les yeux, ses doigts jouant distraitement avec le collier de perles autour de son cou avant de descendre vers sa poitrine généreuse, offerte par un décolleté encore plus audacieux que celui de Léa.

— "On est vraiment sûrs de vouloir faire ça ?" murmura Léa, même si ses pupilles dilatées et le frisson qui parcourut son échine trahissaient son désir. Sa voix était rauque, presque étouffée par le martèlement sourd de la musique.

Thomas serra sa main plus fort, un sourire carnassier étirant ses lèvres.
— "T’as vu comment ils nous matent ? Ils savent déjà qu’on va leur donner ce qu’ils veulent." Sa paume libre se posa sur ses fesses, les pressant légèrement, comme pour lui rappeler ce qui l’attendait. "Et toi aussi, tu le sais."

Un rire cristallin fuse non loin d’eux. Une rousse aux courbes plantureuses, vêtue d’une combinaison en latex noir qui épousait chaque repli de son corps, se levait d’un fauteuil, un verre de champagne à la main. Elle les dévisagea sans gêne, sa langue rose glissant sur sa lèvre supérieure avant qu’elle ne murmure quelque chose à l’oreille d’un homme à ses côtés. Celui-ci, un quadragénaire athlétique aux cheveux grisonnants, suivit la direction de son regard et ses yeux s’illuminèrent en découvrant Léa.

— "Allez, chérie, montre-leur ce que t’as sous cette robe," grogna Thomas à son oreille, sa voix grave vibrant contre sa peau. "Fais-les baver."

Léa n’eut pas besoin d’être encouragée deux fois. Elle se détourna légèrement de lui, ses hanches se balançant avec une grâce naturelle alors qu’elle s’avançait vers le centre de la piste de danse. La musique, un mélange de house sensuelle et de beats hypnotiques, semblait battre au rythme de son cœur. Elle leva les bras au-dessus de sa tête, ses doigts s’enroulant dans ses cheveux bruns qui cascadaient dans son dos, et commença à onduler. Ses seins, lourds et pleins, se soulevaient et retombaient sous le tissu fin de sa robe, leurs pointes dures frottant contre la soie à chaque mouvement. Elle ferma les yeux, laissant son corps prendre le contrôle, ses hanches dessinant des cercles lents, puis des mouvements plus saccadés, comme si une main invisible la pénétrait déjà.

Les regards convergèrent vers elle. Des hommes, d’abord, leurs yeux rivés sur la façon dont sa robe remontait légèrement à chaque rotation de bassins, révélant l’élastique de sa culotte en dentelle noire. Puis les femmes, certaines se mordillant la lèvre, d’autres échangeant des sourires complices avec leurs partenaires. Une blonde aux cheveux courts, vêtue d’un corset en cuir qui compressait ses seins jusqu’à les faire déborder, s’approcha en dansant, ses hanches roulant contre celles d’un homme avant de se détacher pour se diriger droit vers Léa.

— "T’es magnifique," murmura-t-elle en se collant contre elle, ses mains se posant sur les hanches de Léa avant de remonter le long de ses côtes. "J’ai jamais vu une paire de seins aussi parfaite."

Léa retint un gémissement quand les doigts de l’inconnue effleurèrent le dessous de ses seins, les soupesant avec une audace qui lui fit monter le rouge aux joues. La blonde ne lui laissa pas le temps de répondre. Ses lèvres s’écrasèrent contre celles de Léa dans un baiser vorace, sa langue s’insinuant entre ses lèvres avec une habileté qui fit trembler les genoux de Léa. En même temps, une main glissa entre leurs corps, paume ouverte, et se pressa contre son entrejambe. Léa sursauta, un cri étouffé contre la bouche de la blonde, quand deux doigts expertes trouvèrent son clitoris déjà gonflé à travers le tissu humide de sa culotte.

— "Putain, t’es déjà trempée," ricana la blonde en rompent le baiser, ses doigts continuant de tracer des cercles insistants. "T’as envie de quoi, ma belle ? De me sentir te lécher jusqu’à ce que tu jouisses ? Ou de prendre une bite bien raide entre ces jolies cuisses ?"

Léa haleta, ses doigts se crispant sur les épaules de l’inconnue. Elle n’eut pas le temps de répondre. Une présence se colla contre son dos, un torse musclé plaquant ses seins contre ceux de la blonde. Des lèvres chaudes se posèrent sur sa nuque, une langue traçant un sillon humide jusqu’à son oreille.

— "Je peux te donner les deux," murmura une voix masculine, grave et rauque. "D’abord ma langue, puis ma queue. À moins que tu préfères commencer par l’arrière…"

Un frisson parcourut l’échine de Léa quand elle sentit quelque chose de dur, de brûlant, se presser contre ses fesses. Une bite. Grosse. L’inconnu – un homme aux cheveux noirs coupés court, les bras couverts de tatouages – se frotta contre elle, son érection glissant entre ses fesses à travers le tissu de sa robe et de sa culotte. Léa gémit, ses hanches se cambrant instinctivement pour offrir plus de contact.

— "Oh, elle adore ça," gloussa la blonde en reculant d’un pas, ses doigts quittant enfin la chatte de Léa pour remonter jusqu’à ses seins. "Regarde-moi ces tétons…" Elle pinça les deux pointes durcies à travers la soie, les tordant juste assez pour faire gémir Léa. "Ils sont faits pour être sucés."

L’inconnu derrière elle grogna en réponse, ses mains agrippant les hanches de Léa pour la plaquer contre lui. Elle sentit son souffle chaud contre son cou, puis ses dents s’enfoncer légèrement dans sa peau, juste assez pour lui arracher un cri. Pendant ce temps, la blonde faisait glisser les bretelles de la robe de Léa, découvrant ses épaules, puis ses seins. L’air frais du club caressa sa peau nue, faisant durcir encore plus ses tétons. Des applaudissements et des sifflements montèrent autour d’eux. Léa rouvrit les yeux, son regard embrumé de désir croisant celui de Thomas, debout près du bar, encerclé par trois femmes.

Son mari avait les yeux rivés sur elle, mais ses mains étaient occupées. Une rousse aux lèvres pulpeuses était agenouillée devant lui, ses doigts travaillant déjà sur la ceinture de son pantalon. Une autre, une brune aux seins énormes débordant d’un bustier en satin, se frottait contre son torse, ses tétons durs frottant contre sa chemise. La troisième, une Asiatique menue aux cheveux courts, lui murmurait quelque chose à l’oreille, ses doigts jouant avec les boutons de sa chemise. Thomas ne quittait pas Léa des yeux, mais un sourire triomphant étirait ses lèvres quand la rousse libéra enfin sa bite.

Un hoquet collectif s’éleva des femmes autour de lui. Même à distance, Léa pouvait voir la taille monstrueuse de son membre – veiné, épais, la tête rouge et luisante déjà suintante de précum. La rousse n’hésita pas une seconde. Elle enroula ses doigts autour de la base, sa bouche s’ouvrant dans un soupir d’anticipation avant de s’abattre sur le gland, ses lèvres s’étirant pour l’engloutir. Elle ne prit même pas la peine de le sucer doucement. Non, elle le prit à la gorge d’un seul coup, sa pomme d’Adam se soulevant quand le gland heurta le fond de sa gorge.

— "Putain de merde," gronda Thomas, ses doigts s’enfonçant dans les cheveux de la rousse pour la maintenir en place tandis qu’il commençait à la baiser la bouche avec des coups de reins brutaux. "C’est ça, avale-moi jusqu’aux couilles, salope."

Léa sentit un frisson la parcourir en voyant son mari se faire sucer avec une telle avidité. L’inconnu derrière elle en profita pour faire glisser sa robe plus bas, découvrant son ventre, puis l’élastique de sa culotte. Ses doigts s’insinuèrent sous le tissu, tirant dessus jusqu’à ce que le vêtement tombe à ses chevilles. Elle était maintenant nue de la taille aux pieds, offerte à tous les regards. La blonde se pencha, capturant un téton entre ses lèvres, sa langue tourbillonnant autour de la pointe sensible tandis que l’inconnu, derrière elle, écarta ses fesses d’un geste possessif.

— "Regarde-moi ce petit cul serré," grogna-t-il, ses doigts traçant le sillon entre ses fesses avant de s’attarder sur son anus. "T’as déjà pris une bite ici, ma belle ?"

Léa secouait la tête, ses doigts agrippant les cheveux de la blonde tandis que celle-ci passait à l’autre sein, ses dents grattant légèrement la peau sensible.

— "Non… jamais…"

— "Alors tu vas adorer," ricana l’inconnu.

Un doigt humide – probablement lubrifié par sa propre salive – se pressa contre son trou vierge, appliquant une pression insistante. Léa crispa les muscles, mais la sensation était étrange, excitante. La douleur initial de l’étirement se mêla à un plaisir inattendu quand le doigt s’enfonça enfin, jusqu’à la deuxième phalange.

— "Oh putain !" s’exclama-t-elle, sa voix tremblante.

La blonde releva la tête, un sourire malicieux aux lèvres.
— "Tu vas te faire défoncer le cul comme une bonne petite salope, hein ?" Elle glissa une main entre les cuisses de Léa, ses doigts trouvant sa chatte déjà ruisselante. "Et pendant ce temps, je vais te lécher cette petite chatte gourmande jusqu’à ce que tu jouisses sur ma langue."

Léa n’eut pas le temps de répondre. L’inconnu retira son doigt, remplacé presque immédiatement par quelque chose de bien plus gros. Le gland de sa bite, large et brûlant, se pressa contre son anus, forçant l’entrée avec une lenteur sadique. Elle sentit ses muscles résister, puis céder sous la pression insistante. Un cri lui échappa quand il s’enfonça enfin, centimètre par centimètre, l’étirant au-delà de ce qu’elle croyait possible.

— "Putain, t’es serrée," gronda l’inconnu, ses hanches commençant un va-et-vient lent, chaque poussée l’enfonçant un peu plus profond. "Ta chatte va couler comme une rivière quand je vais te baiser comme il faut."

Pendant ce temps, la blonde s’était agenouillée devant elle, ses doigts écartant les lèvres gonflées de la chatte de Léa. Sa langue, chaude et habile, lécha d’un seul coup de la base de son sexe jusqu’à son clitoris, avant de s’attarder sur ce petit bouton durci, le suçant avec une avidité qui fit trembler les jambes de Léa.

— "Oh mon Dieu…" gémit-elle, ses doigts s’enfonçant dans les cheveux de la blonde tandis que l’inconnu derrière elle accélérait le rythme, ses coups de boutoir devenant plus brutaux, plus profonds. "Je vais… je vais…"

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase. Un orgasme violent la frappa, son corps se raidissant alors que des vagues de plaisir déferlaient en elle. Sa chatte se contracta autour du vide, inonde la langue de la blonde de son jus chaud, tandis que son cul, malgré la douleur initiale, commençait à s’adapter à la bite qui le pilonnait sans pitié.

De l’autre côté de la pièce, Thomas avait maintenant les deux mains enfoncées dans les cheveux de la rousse, sa bite disparue jusqu’aux couilles dans sa gorge. La brune aux gros seins s’était agrippée à son bras, sa bouche avide autour de son téton qu’elle suçait avec frénésie, tandis que l’Asiatique, à genoux à ses côtés, lui caressait les boules, ses doigts jouant avec son périnée.

— "Putain, vous êtes toutes des putes," gronda-t-il, ses hanches s’emballant alors qu’il commençait à baiser la bouche de la rousse avec une violence animale. "Vous voulez tous me sucer, hein ? Vous voulez tous goûter ma bite ?"

Un chœur de "oui" enthousiastes lui répondit. La brune relâcha son téton avec un "pop" humide, ses doigts descendant vers sa propre chatte qu’elle se mit à doigter avec frénésie en le regardant.

— "Baise-moi après, gros," haleta-t-elle. "Je veux sentir cette queue monstrueuse me déchirer la chatte."

Thomas ricana, ses yeux brillant d’un désir sauvage.
— "T’inquiète, chérie. Tu vas toutes l’avoir. Une par une. Jusqu’à ce que vous marchiez plus."

Et tandis que Léa, de l’autre côté de la pièce, se faisait enculer et lécher comme une traînée en chaleur, Thomas se laissa emporter par le tourbillon de bouches, de seins et de chattes avides qui l’entouraient, prêt à leur donner exactement ce qu’elles réclamaient. La nuit ne faisait que commencer.

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Catégories : Grosse bite, Club échangiste, Vieux
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